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325 av. J.-C. : Aristote

Rhétorique (1547)

Aristote, De Arte Rhetorica libri tres, trad. lat. Marcantonio Majoragio (1514-1555, 1e éd. 1547?), Padoue, Presses du Séminaire, 1689, liber II, caput V, « De Timore, & confidentia; itemque de arte hos affectus excitandi », p. 201-204.

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325 av. J.-C. : Aristote

Rhétorique (1654)

Aristote, Rhétorique, trad. François Cassandre, 1re éd. 1654, La Haye, Isaac Vaillant, 1718, livre second, chap. V, « De la Crainte et de l'Assurance », p. 213-216.

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Dictionnaires et encyclopédies

CN. [pour Pajot, synonyme de Audacia]

Furetière

Bonne opinion qu’on a de quelque chose sur laquelle on se fie, on s’asseure. Il ne faut point avoir trop de confiance aux choses du monde. Milon Crotoniate perit pour avoir trop de confiance en sa force. La confiance qu’on a en Dieu fait affronter toutes sortes de perils. Ce Prince a une entiere confiance en ses Ministres, il se repose sur eux de ses affaires les plus importantes.

 

Encyclopédie

[Diderot]

Est un effet de la connoissance & de la bonne opinion que nous avons des qualités d’un être, relatives à nos vûes, à nos besoins, à nos desseins, & plus généralement à quelqu’intérêt marqué, qui consiste à nous en reposer sur lui quelquefois plus parfaitement que sur nous-mêmes, de ce qui concerne cet intérêt. Cette définition est générale, & peut s’appliquer à confiance prise au simple & au figuré, & considérée par rapport aux êtres intelligens & aux êtres corporels.

 

Littré

Sentiment qui fait qu’on se fie en soi-même. Prendre, perdre confiance. Il est plein de confiance en lui.

Dans la confiance de la victoire. [Vaugelas, Q. C. dans Richelet]

 

Liberté honnête. Aborder quelqu’un avec confiance.

 

Présomption. Avoir des airs de confiance. Se donner des airs de confiance.