Définitions

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325 av. J.-C. : Aristote

Rhétorique (1550)

Aristote, De Arte Rhetorica libri tres, trad. lat. Marcantonio Majoragio (1514-1555? 1e éd. d'extraits : Paolo Beni, 1524? 1e éd. intégrale 1550), Padoue, Presses du Séminaire, 1689, Liber I, Caput II, p. 15-17.

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325 av. J.-C. : Aristote

Rhétorique (1654)

Aristote, Rhétorique, trad. François Cassandre, 1e éd. 1654, La Haye, Isaac Vaillant, 1718, Livre I, Chapitre II, p. 12-14.

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1665 : Richesource

L’Éloquence de la chaire

Jean Oudart de Richesource, L’Éloquence de la chaire ou la Rhétorique des prédicateurs (1665), Paris, à l’académie des orateurs, 1673, p. 8-9.

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1816 : Gaspard Gilbert Delamalle

Essai d'Institutions oratoires

Gaspard Gilbert Delamalle, Essai d’institutions oratoires à l’usage de ceux qui se destinent au barreau, Paris, Delaunay, 1816, t. I, p. 23-24.

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Dictionnaires et encyclopédies

CN. voir Motus

Encyclopédie

πάθος, mot purement grec, qui signifie les mouvemens ou les passions que l’orateur excite ou se propose d’exciter dans l’ame de ses auditeurs. De-là vient le mot de pathétique. Voyez Pathétique.

 

On dit que le pathos regne dans un discours quand il renferme plusieurs de ces tours véhémens qui échauffent & qui entraînent l’auditeur comme malgré lui. On emploie aussi quelquefois ce mot au lieu de force ou énergie. Voyez Energie.

 

Littré

Terme de rhétorique. Mouvements, figures propres à toucher fortement l’âme des auditeurs. Les rhéteurs opposent le pathos à l’ithos.

On voit partout chez vous l’ithos et le pathos. [Molière, Les femmes savantes]