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325 av. J.-C. : Aristote

Rhétorique (1547)

Aristote, De Arte Rhetorica libri tres, trad. lat. Marcantonio Majoragio (1514-1555, 1e éd. 1547?), Padoue, Presses du Séminaire, 1689, liber III, caput XIV, « De exordio », p. 412-414.

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325 av. J.-C. : Aristote

Rhétorique (1654)

Aristote, Rhétorique, trad. François Cassandre, 1re éd. 1654, La Haye, Isaac Vaillant, 1718, livre troisième, chap. XIV, « De l'Exorde », p. 454-455.

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1662 : Jacques du Roure

La Rhétorique française

Jacques Du Roure, La Rhétorique française nécessaire à tous ceux qui veulent parler, ou écrire comme il faut et faire ou juger : des discours familiers, des lettres, des harangues, des plaidoyers, et des prédications, Paris, chez l’Auteur, 1662, Troisième partie, p. 41-42.

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1665 : Richesource

L’Éloquence de la chaire

Jean Oudart de Richesource, L’Éloquence de la chaire ou la Rhétorique des prédicateurs (1665), Paris, à l’académie des orateurs, 1673, p. 214.

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1671 : Le Gras

La Rhetorique Françoise ou les preceptes de l'ancienne et vraye eloquence accomodez à l'usage des conversations & de la Societé civile : Du Barreau : Et de la Chaire

Le Gras, La Rhetorique Françoise ou les preceptes de l'ancienne et vraye eloquence accomodez à l'usage des conversations & de la Societé civile : Du Barreau : Et de la Chaire, Paris, A. de Rafflé, 1671, Seconde partie de la Rethorique, « De la Disposition », chap. II, « De l'Attention », p. 101-102.

 

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1837 : Joseph Victor Le Clerc

Nouvelle Rhétorique, extraite des meilleurs écrivains anciens et modernes
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1837 : Joseph Victor Le Clerc

Nouvelle Rhétorique, extraite des meilleurs écrivains anciens et modernes

Joseph-Victor Le Clerc, Nouvelle Rhétorique, extraite des meilleurs écrivains anciens et modernes, suivie d'Observations sur les matières de composition dans les classes de rhétorique, et d’une Série de Questions à l’usage de ceux qui se préparent aux Examens dans les Collèges royaux et à la Faculté des Lettres, Bruxelles, Société belge de librairie, etc., Hauman, Cattoir et comp°, 1837 (1ère éd. 1823), p. 68.

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Dictionnaires et encyclopédies

Furetière

Application de l’oreille et de l’esprit à quelque discours qu’on entend, application des yeux et de l’esprit à ce qu’on regarde, à quelque ouvrage. Il y a aussi une pure attention de l’esprit pour la meditation. Les gens distraits n’ont point d’attention. Un bon Orateur doit reveiller de temps en temps l’attention de son auditoire, doit savoir se faire prester de l’attention. Ce mot vient du Latin attentio.

 

Encyclopédie

[Diderot]

Exactitude, vigilance (Gramm.) ; tous marquent différentes manieres dont l’ame s’occupe d’un objet : rien n’échappe à l’attention ; l’exactitude n’omet rien ; la vigilance fait la sûreté. Si l’ame s’occupe d’un objet, pour le connoître elle donne de l’attention ; pour l’exécuter elle apporte de l’exactitude ; pour le conserver elle employe la vigilance. L’attention suppose la présence d’esprit ; l’exactitude, la mémoire ; la vigilance, la crainte & la méfiance.

 

Le magistrat doit être attentif, l’ambassadeur exact, le capitaine vigilant. Les discours des autres demandent de l’attention ; le maniment des affaires de l’exactitude ; l’approche du danger de la vigilance. Il faut écouter avec attention ; satisfaire à sa promesse avec exactitude, & veiller à ce qui nous est confié.

 

Littré

Action de fixer l’esprit sur, de prendre garde à. Tout ce qu’il a été donné d’attention à un homme, nous l’avons mis en œuvre.

Ce ne sont pas seulement les grands objets qui ont plusieurs faces, ce sont aussi les plus petits, et une grande attention est une espèce de microscope qui les grossit. [Fontenelle, Dodart.]